©LA MECANIQUE DU HASARD -
D’après le roman de Louis Sachar,
Le Passage
Mise en scène Olivier Letellier
Adaptation Catherine Verlaguet
Interprétation Fiona Chauvin,
Guillaume Fafiotte
Assistant Jonathan Salmon
Création lumière Sébastien Revel
Création sonore Antoine Prost
Scénographie Colas Reydelet
Lieu : Le Strapontin -
Ville : Lorient -
Le 08 10 2018 -
Photo : Christophe RAYNAUD DE LAGE
©LA MECANIQUE DU HASARD -
D’après le roman de Louis Sachar,
Le Passage
Mise en scène Olivier Letellier
Adaptation Catherine Verlaguet
Interprétation Fiona Chauvin,
Guillaume Fafiotte
Assistant Jonathan Salmon
Création lumière Sébastien Revel
Création sonore Antoine Prost
Scénographie Colas Reydelet
Lieu : Le Strapontin -
Ville : Lorient -
Le 08 10 2018 -
Photo : Christophe RAYNAUD DE LAGE
©LA MECANIQUE DU HASARD -
D’après le roman de Louis Sachar,
Le Passage
Mise en scène Olivier Letellier
Adaptation Catherine Verlaguet
Interprétation Fiona Chauvin,
Guillaume Fafiotte
Assistant Jonathan Salmon
Création lumière Sébastien Revel
Création sonore Antoine Prost
Scénographie Colas Reydelet
Lieu : Le Strapontin -
Ville : Lorient -
Le 08 10 2018 -
Photo : Christophe RAYNAUD DE LAGE
Un road movie palpitant!
Se croyant héritier d’une malchance transmise depuis quatre générations, le jeune Stanley Yelnats est toujours « au mauvais endroit au mauvais moment». Accusé à tort d’avoir volé une paire de baskets, il est envoyé dans un camp de redressement au Texas pour creuser des trous au fond d’un lac asséché. Grâce à l’amitié qu’il noue avec un autre adolescent, il décide de prendre son destin en main et de déposer l’héritage familial pour inventer sa propre histoire. Conte initiatique aux multiples rebondissements, les comédiens, tantôt conteurs, tantôt acrobates, nous entrainent dans un road movie palpitant !
Tout public à partir de 10 ans
Distribution
THÉÂTRE DU PHARE
D’après Le Passage de Louis Sachar (Éd. L’École des loisirs)
Adaptation Catherine Verlaguet • Mise en scène Olivier Letellier
Avec Fiona Chauvin et Guillaume Fafiotte
"Le spectacle prouve qu’il est possible par le seul pouvoir du conte
et la ferveur des conteurs de mobiliser l’imagination des spectateurs,
petits et grands, de façon étourdissante." Le Monde