Folia est le résultat d’un double métissage. La musique baroque dirigée par Franck-Emmanuel Comte y croise la chorégraphie de Mourad Merzouki, hip hop mais également classique, contemporaine avec même l’invitation d’un derviche tourneur.
Danseurs et musiciens s’emparent d’une fusion des genres insolite placée sous le signe du partage et de la générosité. De tarentelles en musiques électroniques, les mondes se confrontent, s’entrechoquent, se parlent et s’enrichissent. Une véritable folie entre break et baroque. Un régal pour les yeux et les oreilles.
Distribution
Direction artistique et chorégraphieMourad Merzouki
Assisté de Marjorie Hannoteaux
Conception musicale Franck-Emmanuel
Comte, Le Concert l’Hostel Dieu et Grégoire Durrande
Scénographie Benjamin Lebreton
Avec les danseurs Habid Bardou, Nedeleg Bardouil, Salena Baudoux ou Lisa Ingrand, Franck Caporale, Mathilde Devoghel, Sofian Kaddaoui, Mélanie Lomoff, Joël Luzolo ou Joseph Gebrael, Mathilde Rispal, Yui Sugano ou Chika Nakayama, Aurélien Vaudey et Titouan Wiener
Et les musiciens Franck-Emmanuel Comte
ou Gwenaël Dubois, Reynier Guerrero Alvarez ou André Costa, Nicolas Janot
ou Vincent Girard, Aude Walker-Virry
ou Clara Fellman, Nicolas Muzy
ou Clément Latour ou Ulrik Larsen,
Heather Newhouse ou Anara Khassenova,
soprano et Florian Verhaegen ou Nicolas Sansarlat
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"Le mélange de la musique classique et du hip hop fonctionne parfaitement sur Folia. Tarentelles italiennes, ballerines classiques,
danse hip hop, les solos comme les mouvements de groupe sont d’une
infinie précision, d’une puissance extrême." France Info
"Battle baroque… Une folie brute"
Elle Culture
"Cette succession de tableaux est un petit miracle… Mourad Merzouki réussit comme jamais un alliage qui n'a rien de factice." Télérama
danse hip hop, les solos comme les mouvements de groupe sont d’une
infinie précision, d’une puissance extrême." France Info
"Battle baroque… Une folie brute"
Elle Culture
"Cette succession de tableaux est un petit miracle… Mourad Merzouki réussit comme jamais un alliage qui n'a rien de factice." Télérama