Depuis plus de vingt-cinq ans, Les Élancées célèbrent la rencontre entre le corps en mouvement et la poésie du geste. En 2026, le festival poursuit cette aventure avec la même exigence artistique et le même élan collectif. De la danse au cirque, du plateau au chapiteau, Les Élancées continuent d’explorer les formes contemporaines du mouvement, en mêlant disciplines, regards et sensibilités.
Pour sa 28e édition, le festival investira six communes de l’ouest du territoire avec 21 compagnies et 67 représentations, dont 26 destinées aux établissements scolaires, 7 créations, mais aussi une exposition photographique itinérante, un focus danse et enfance ainsi que de nombreux ateliers de pratique artistique.
Rendez-vous du 3 au 15 février 2026 dans les villes d’Istres, Cornillon-Confoux, Fos-sur-Mer, Grans, Miramas et Port-Saint-Louis-du-Rhône.



Les moments forts du festival
Un spectacle équestre à L’Usine
Au plateau, une pianiste, un piano à queue, deux centaures composés d’une femme, un homme et quatre chevaux noirs dans un chant qui s’élève. Entre chiens et loups est un poème dansé entre le domestique et le sauvage, entre l’humain et l’animal.
Un étrange camion-spectacle
Dans un camion transformé en salle de spectacle, jonglerie et musique composent un monde magique, celui de Ballroom. Un moment suspendu où le temps rebondit au rythme des balles et des sons.
Un repas-cabaret
Dans une ambiance de cabaret, Scorpène fait dialoguer dans 3e oeil magie et philosophie pour explorer l’art de la manipulation et interroger notre rapport à l’invisible. Un voyage entre corps et esprit, où mentalisme et illusion éveilleront, peut-être, notre sixième sens… Les yeux dans les yeux.
Deux chapiteaux
Entre prouesses de cirque, humour décalé et musique folklorique, les sept circassiennes de Mad in Finland racontent leur pays avec une énergie débordante : la nuit polaire, les championnats en tout genre, le saut à ski, la passion pour le sauna… Rires et frissons garantis !
Sous le traditionnel chapiteau de Rasposo, acrobates et musiciens célèbrent la vie dans un tourbillon d’émotions. Entre cirque et théâtre, Hourvari nous propose un fabuleux voyage au cœur de l’enfance.


Une édition ouverte à l’international
Cette édition sera marquée par la présence de 5 compagnies étrangères, ouvrant le festival à l’international.
Avec Moya, le Zip Zap Circus explore et célèbre l’héritage unique de l’Afrique du Sud, illustrant le rêve de Nelson Mandela d’une nation arc-en-ciel.
Les dix circassiens australiens de la célèbre compagnie Circa célèbrent le corps dans un spectacle acrobatique mêlant énergie brute et musique électro : Wolf.
Sur les notes emblématiques de Bach, la célèbre compagnie espagnole Aracaladanza joue avec les rythmes, les variations, les couleurs et les mouvements pour créer un univers plein de fantaisie et de surprises.
Sans oublier le Galapiat Cirque (Finlande) et Ballroom par la cie Post Uit Hessdalen (Belgique).



Une édition sensible aux compagnies régionales
Symbole d’un monde agité et en perpétuel mouvement, un tapis roulant devient le terrain de jeu d’un dialogue à mains nues. C’est sur cette scène inédite et mouvante que les deux artistes de la compagnie Les Hommes de mains enchainent portés et acrobaties Immobiles.
De la magie à laquelle vous ajoutez quelques notes de musique, de l’humour et beaucoup d’autodérision et vous obtenez Juste une illusion. Avec ce spectacle mené tambour battant, Julien Becquelin nous offre un bel aperçu de son univers original et touchant.
Sur une aire de jeux de 6m2, un danseur et un patineur en roller entament un dialogue chorégraphique. Entre danse contemporaine, influence hip-hop et petites touches circassiennes, Pacific Square célèbre la fraternité et nous emmène dans un univers poétique au-delà des conventions.
Sans oublier le Théâtre du Centaure.


De belles fidélités chorégraphiques
Josette Baïz revisite en cinq tableaux le célèbre mythe de Molière, Don Juan. Quinze danseurs classiques, contemporains, krump et hip-hop incarnent un Don Juan charmeur et impétueux, rebelle et tourmenté. Une fresque chorégraphique, à la croisée des esthétiques, intense, métissée et vibrante !
Christine Fricker revient avec le Labyrinthe de l’Oie, un spectacle-jeu plein d’imagination où coopération, mouvement et créativité s’entremêlent. Ensemble, petits et grands redécouvrent le plaisir du jeu, du partage et de l’inattendu.
Michel Kelemenis propose un nouveau conte chorégraphique pétillant où les corps s’amusent. Entre humour et poésie, L’Amoureux de Madame muscle nous invite à explorer l’anatomie à travers le mouvement !



Séverine Bidaud, présente en 2025 avec Faraekoto, nous propose son dernier opus Hip hop est-ce bien sérieux ?, La cie 6e Dimension retrace avec humour et énergie l’histoire du mouvement hip-hop, de ses origines à nos jours.
Outre les compagnies déjà citées, la Cie Bestiâ revient avec sa toute nouvelle création Fratello, Deux circassiens explorent, sans paroles, la force du lien fraternel. Un moment suspendu à la fois virtuose et poétique !
Et aussi
Les incontournables Mangeurs de Lapin revisitent le music-hall des années folles dans un show délirant, sans un mot, mais plein d’éclats de rire. Magie, acrobaties, costumes fous et détournements culturels : un tour du monde burlesque mené tambour battant par des clowns survoltés !
Etienne Manceau de la compagnie Sacekripa associé à Matthieu Despoisses et à Bram Dobbelaere seront au Citron jaune avec Pling Klang. Sur scène, deux hommes tentent de monter un meuble IKEA. Ils bricolent, vissent, collent, manipulent des pièces, jonglent, font de l’acrobatie, interagissent entre eux. Un prétexte drôle et poétique pour explorer, entre rires et tendresse, la vie à deux et la masculinité. Spectacle suivi d’un apéro de l’amour pour la Saint-Valentin.



Bérénice Legrand propose P.I.E.D. en format de poche : C’est grâce à eux que l’on peut marcher, courir et danser. Ils nous supportent au quotidien, pourtant les pieds sont les mal-aimés de notre corps. Porté par deux danseuses, ce joli spectacle format poche lance avec poésie le pari d’une reconquête podale… tout en douceur !
Catherine Dreyfus revient avec Le Mensonge, une danse expressive et imagée, entre jeux, poésie et malice.
Et Léo Rousselet dans Éclipse, tout récemment créé : sur scène, une lampe, une balle blanche, une enceinte qui diffuse un tango rétro… tout est à sa place. La lumière s’éteint et la magie commence. Dans ce solo en clair-obscur, Léo Rousselet jongle avec le temps, l’ombre et la lumière pour créer de beaux moments suspendus.
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